Amnesty International faisait état de son inquiétude le 10 décembre sur l’opposition de certains états dont la Norvège, l’Arabie Saoudite et la Norvège à l’inclusion des droits humains dans le texte final de l’accord.
Malheureusement, la version finale ne comporte aucune mention d’eux.
Pour Le Monde, il s’agit, plus globalement, d’un accord, quoique historique, peu contraignant et qui fait la part belle à l’approche par la différenciation.
Quant à la structure juridique de l’accord, le Prof. Jorge E. Viñuales en propose (ci-dessous) une première représentation schématique bien utile, illustrant son indéniable cohérence.